mardi 27 novembre 2012

Les fleurs de Bach, qu'est-ce que c'est ?


Ce sont des élixirs floraux, répartis en sept groupes (peurs, incertitudes, hypersensibilités, manques d'intérêt pour le présent, solitudes, abattements et désespoirs, soucis excessif pour autrui), réalisés via deux méthodes différentes, que le docteur Bach a voulues accessibles à tous. Le processus pour obtenir les remèdes est donc simple et ne coûte presque rien. La dilution est très grande : une petite quantité seulement de la plante est nécessaire pour réaliser plusieurs dizaines de flacons1.
La grande majorité des plantes nécessaires aux préparations du Dr. Bach poussent naturellement dans nos contrées, sauf la vigne (Vine), l'olivier (Olive) et le plumbago (Cerato), même si certaines d'entre elles sont originaires d'autres pays (Europe centrale et méridionale, Inde et Tibet)2.
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1Deux tiers d'un goutte de l'élixir-mère pour un flacon du commerce S. BALL, Cours pratique des Fleurs de Bach, Editions co-créatives, Illats, 2002, p. 90
2Dr. BACH, Les douze Guérisseurs et autres remèdes, Ulmus Company LTD, Londres, 1934, p. 26

Suivront la description des deux méthodes de préparation des Fleurs de Bach et la liste des remèdes préparés selon chacune d'elles.

dimanche 25 novembre 2012

L'avenir de la médecine

Ainsi le Dr. Bach assure-t-il que « la guérison va passer du plan physique traitant le corps physique au soin mental et spirituel qui, en instaurant l'harmonie entre Âme et mental, supprimera la cause fondamentale de la maladie et ainsi permettra aux méthodes physiques de ne servir qu'accessoirement pour appuyer la guérison du corps1 ».
« Le médecin du futur aura deux grands buts : le premier sera d'aider son patient à apprendre à se connaître lui-même, le rendant ainsi à même de découvrir quelles sont les erreurs fondamentales qu'il a pu faire (…). En second lieu, son devoir consistera à ordonner des remèdes qui puissent aider à la fois le corps physique à se renforcer et le mental à s'apaiser (…). Ces remèdes se trouvent dans la nature2 ».
« L'art de soigner aura pour mission de nous donner la connaissance et les moyens qui nous permettront de venir à bout de nos maladies. L'école médicale du futur (…) n'ordonnera pas de médicaments et de produits chimiques pour le seul plaisir de pallier nos symptômes, (…) mais elle concentrera ses efforts sur le rétablissement de l'harmonie entre le corps, le mental et l'Âme3 ».
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1Dr. BACH, Guéris-toi toi-même, Ulmus Company LTD, Londres, 1936, p. 41-42
2Op. Cit., p. 42-43
3Op. Cit., p. 55

samedi 24 novembre 2012

Livre : Bien vivre sa mort

On se pose souvent nombre de questions sur les façons de vivre heureux, de progresser, d'avancer et il existe en ce domaine une foule d'écrits, de méthodes, plus ou moins efficaces pour parvenir à ses fins. Daniel Briez jette aujourd'hui un pavé dans la mare : notre culture a oublié (a même plutôt sciemment occulté) la question du Grand Passage, celui de la mort. Hé oui, jadis, les Anciens, qu'ils soient Assyriens, Egyptiens, Grecs, Celtes ou Romains, disposaient de mythologies et d'écrits, guides pratiques pour réussir leur mort.

Aujourd'hui, devant cette échéance, la plupart des Occidentaux se retrouvent déstabilisés, désemparés, apeurés… rejetant le plus loin possible l'image de la mort. Daniel Briez propose dans son ouvrage "Bien vivre sa mort - Manuel pratique pour réussir le Passage" de vous expliquer les processus en place lors du décès de quelqu'un (biologiques et énergétiques) et surtout de vous donner les moyens de faciliter cette étape pour vos proches et pour vous-même.

BIEN VIVRE SA MORT : Manuel pratique pour réussir le Passage, Daniel Briez Editions Dangles, Prix 10 € format poche 240 pages
Un livre à mon sens incontournable, tant l'article sur le sujet publié sur le blog de Daniel a révélé en moi l'urgence de remettre de la conscience dans la façon dont nous vivons, accompagnons et traitons nos morts… Un ouvrage voulu aussi très accessible (prix et contenu) pour permettre au plus grand nombre d'en bénéficier.

Pour plus d'informations consultez le blog de Daniel Briez dans les liens.


L'origine de la maladie ou comment guérir ?

Selon Edward Bach, « la maladie est, en essence, le produit d'un conflit entre l'Âme et le mental1 ». Ainsi, « tant que notre Âme et notre personnalité sont en harmonie, tout est joie et paix, bonheur et santé2 ».
« Le mental, étant la partie la plus délicate et la plus sensible du corps, signale le début et l'évolution de la maladie plus précisément que le corps lui-même ; c'est donc sur ses manifestations que nous choisirons de nous fonder pour déterminer le ou les remèdes nécessaires3 ».
Ainsi, c'est « en connaissant le but de notre Âme et en le suivant, [que] nous nous dégagerons des souffrances et détresses terrestres et serons libres de laisser notre évolution se dérouler dans la joie et le bonheur ».
Pour guérir, « il ne s'agit pas de se battre contre ce qui ne va pas, mais de le balayer de notre nature par un afflux de la vertu opposée ». « La guérison radicale et complète vient, en fin de compte, de l'intérieur, de l'Âme elle-même qui, bienfaisante, fait rayonner l'harmonie dans toute la personnalité lorsqu'on l'autorise à le faire4 »
C'est pour cette raison que le Dr. Bach nous dit aussi que « la nature de la maladie n'est pas prise en compte lorsque, pour soigner, on fait appel à ces remèdes. C'est le malade que l'on traite, et quand il récupère, la maladie s'en va, à mesure que la santé progresse5 ».
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1Op. Cit., p. 6
2Op. Cit., p. 10
3Dr. BACH, Les douze Guérisseurs et autres remèdes, Ulmus Company LTD, Londres, 1934, p. 5
4Dr. BACH, Guéris-toi toi-même, Ulmus Company LTD, Londres, 1936, p. 19-20
5Dr. BACH, Les douze Guérisseurs et autres remèdes, Ulmus Company LTD, Londres, 1934, p. 5

mercredi 21 novembre 2012

La maladie : un mal nécessaire

Pour bien comprendre ce que sont les Fleurs de Bach™ et la façon dont elles agissent, il est nécessaire de se pencher sur la conception que le docteur Edward Bach (1886-1936) avait de la maladie.
Cette vision est aujourd'hui relayée généralement par le secteur des médecines alternatives qui ont, pour la plupart, placé le patient au centre de leurs préoccupations, plutôt que la maladie. Selon le Dr. Bach, « la principale raison de l'échec de la science médicale contemporaine réside dans le fait qu'elle s'est orientée vers les effets, et non vers les causes1 ». Ainsi affirme-t-il que « le soulagement ne peut être que temporaire si la cause réelle reste présente » et que « tout effort dirigé uniquement vers le corps ne peut aller au-delà de la simple réparation superficielle des dégâts (…) : la cause agit toujours et peut à tout moment manifester sa présence sous une autre forme2 ».
Cette conception de ce qu'est la maladie et de ses origines est tout à fait parallèle à celle de nombreuses médecines holistiques3 : « [la maladie] met en évidence une leçon que nous n'avons pas su saisir autrement4 ». « Si les bactéries peuvent jouer un rôle dans les maladies physiques ou leur être associées, en aucune façon elles ne représentent le problème dans sa vérité totale5 »
Loin de nous culpabiliser, le Dr. Bach souhaite conduire « ceux qui souffrent à chercher en eux-mêmes la véritable origine de leur maladie » et leur permettre de « contribuer à leur propre guérison6 ». Pour lui, « la nature même de la maladie nous guidera utilement pour nous aider à découvrir le type de comportement émis (…), de « défaut » [qui par] sa répétition et sa persistance précipite dans le corps la maladie7 ». C'est un chemin de responsabilité et de conscience que de se guérir.
Pour lui, la maladie est en soi bénéfique, puisqu'elle pousse à la prise de conscience, et « rien n'est désespéré, quelle que soit la sévérité de l'atteinte8 ».
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1Dr. BACH, Guéris-toi toi-même, Ulmus Company LTD, Londres, 1936, p. 5
2Op. Cit., p. 6
3Cf. Chr. BEERLANDT, La clef vers l'autolibération, éd. Altina, Ostende, 1998
Cf. M. ODOUL, Dis-moi où tu as mal, je te dirai pourquoi, éd. Albin Michel, Paris, 2002
4Dr. BACH, Guéris-toi toi-même, Ulmus Company LTD, Londres, 1936, p. 8
5Op. Cit., p. 51
6Op. Cit., p. 5
7Op. Cit., p. 14-15
8Op. Cit., p. 8