Selon Edward Bach, « la maladie est,
en essence, le produit d'un conflit entre l'Âme et le mental1 ».
Ainsi, « tant que
notre Âme et notre personnalité sont en harmonie, tout est joie et
paix, bonheur et santé2 ».
« Le
mental, étant la partie la plus délicate et la plus sensible du
corps, signale le début et l'évolution de la maladie plus
précisément que le corps lui-même ; c'est donc sur ses
manifestations que nous choisirons de nous fonder pour déterminer le
ou les remèdes nécessaires3 ».
Ainsi, c'est « en
connaissant le but de notre Âme et en le suivant, [que] nous nous
dégagerons des souffrances et détresses terrestres et serons libres
de laisser notre évolution se dérouler dans la joie et le
bonheur ».
Pour guérir, « il
ne s'agit pas de se battre contre ce qui ne va pas, mais de le
balayer de notre nature par un afflux de la vertu opposée ».
« La guérison radicale et complète vient, en fin de
compte, de l'intérieur, de l'Âme elle-même qui, bienfaisante, fait
rayonner l'harmonie dans toute la personnalité lorsqu'on l'autorise
à le faire4 »
C'est pour cette
raison que le Dr. Bach nous dit aussi que « la nature
de la maladie n'est pas prise en compte lorsque, pour soigner, on
fait appel à ces remèdes. C'est le malade que l'on traite, et quand
il récupère, la maladie s'en va, à mesure que la santé
progresse5 ».
__________________________
1Op.
Cit., p. 6
2Op.
Cit., p. 10
3Dr.
BACH, Les douze Guérisseurs et autres remèdes,
Ulmus Company LTD, Londres, 1934, p. 5
4Dr.
BACH, Guéris-toi toi-même,
Ulmus Company LTD, Londres, 1936, p. 19-20
5Dr.
BACH, Les douze Guérisseurs et autres remèdes,
Ulmus Company LTD, Londres, 1934, p. 5
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